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Yves Bontaz, dirigeant de Bontaz Centre réagit aux propos de Jean Marc Ayrault au sujet de l'implantation de sa nouvelle usine au Maroc

Published on 18/09/2012 à 10:29

"La gauche n'a pas a me donner des leçons", déclare Yves Bontaz suite au propos de Jean Marc Ayrault, jugeant "inadéquat" la décision de Bontaz Centre d'installer une nouvelle usine au Maroc. "J'ai créé 350 emplois en France, combien en ont créés ceux qui me critiquent ? Le fautif, c'est Hollande" s'insurge le chef d'entreprise.


Communiqué d'Yves Bontaz sur le sujet de sa décision de ne pas faire sa nouvelle usine en France le 08 septembre 2012.


Yves Bontaz communique suite aux propos des responsables de la majorité concernant la nouvelle usine qu'il implante au Maroc au détriment de la France.


Il remercie les milliers de personnes qui l'ont félicité d'avoir eu le courage de dire tout haut ce que la majorité des français courageux pensent tout bas, dire que le pays va à la faillite comme la Grèce avec la bande de rêveurs incompétents qui le gouverne.


Il rappelle que son action n'est pas une délocalisation mais une création puisque 350 emplois restent en France avec même une augmentation de 20 embauches par an sur le territoire. Il ajoute que les produits qui vont être fabriqués au Maroc sont destinés aux USA et à la Chine et que ceux-ci n'auraient pas supportés les nouvelles décisions de Hollande sur leurs coûts.


Il rappelle à la gauche qu'il y a une compétition internationale féroce entre les 227 pays du globe et que la France est la plus mal placée avec des impôts et des charges patronales à 50 % contre 20 % en Allemagne, USA et dans tous les pays du monde. Tout ceci a pour cause les semaines de RTT et l'embauche sous Mitterrand de 1 100 000 fonctionnaires toujours en place à ce jour.


Yves Bontaz demande à tous ceux qui l'ont indignement insulté sur Internet de réfléchir aux points suivants  : « pourquoi des donneurs de leçons habituels de gauche, ces impolis, ces "forts en gueule", qui écrivent des mots comme "casse toi gros con", "tu es vieux crève", "va te faire soigner hors de France", "je vais t'aider à dégager", n'ont pas essayés de faire comme lui, à savoir se mettre à leur compte pour créer des emplois ? Ils ont préférés défiler sous les drapeaux de la CGT ou insulter la droite anonymement
sur internet sans avoir le courage de signer leurs propos.


Pour sa part, Yves Bontaz rappelle qu'il n'a aucune remarque à recevoir de la gauche.


"J'ai été salarié chez Zedcé, Rosset Cotterlaz à Marnaz plusieurs années avant d'hypothéquer mes biens pour acheter mes 2 premières machines et démarrer avec un ouvrier mon père jusqu' a avoir 350 salariés en France et beaucoup à l'étranger à cause de la gauche qui avait détruit notre compétitivité avec les RTT.
J'ajoute que, dés que j'ai eu de l'argent, j'ai payé à 100 % un dispensaire pour orphelins et une école d'agriculture à Madagascar.

Un mot pour finir. Actuellement, les français souffrent peut être, je le reconnais, mais que dire des 500 000 emplois qui ne trouvent pas de salariés pour 61 métiers répertoriés par l'INSSE en France ? Ceux qui critiquent ont-ils pensé que 9 000 000 d'enfants meurent de faim dans le monde, d'après la rapport de Jacques Attali.
Dans cette optique, je considère que les localisations d'emploi à l'étranger peuvent constituer une bonne action. Où sont les valeurs de la gauche quand ces enfants meurent de faim ?


Au cours de son histoire, la France a bien souvent dévié de la voie de la justice (l'esclavage, la colonisation, la collaboration...). Cette même histoire dira dans 50 ans comment la gauche française a favorisé en 2012 l'appauvrissement de populations déjà plongées dans la misère en refusant aux entreprises françaises le droit d'aller leur donner du travail chez eux.


Pour revenir à ma décision je la pense presque irréversible. Cependant, avant de finaliser le lancement de cette usine au Maroc, j'ai tout de même accepté l'idée d'un rendez-vous que notre député Sophie Dion va proposer à M. Montebourg. En sachant que si les décisions suivantes étaient prises, je pourrai changer d'avis : instaurer une TVA sociale à 3 % totalement réservé à la baisse des charges patronales, conserver l'ISF de Sarkozy avec un bouclier fiscal à 60 % CSG CRDS compris au lieu de 85 %, avec exonérations totales pour les biens professionnels et enfin supprimer les RTT, ce qui aurait pour conséquence de faire baisser le nombre de fonctionnaires de 600 000, soit une économie pour ce seul poste de 30 milliards € par an pour le pays."

 

Communiqué publié par bontaz yves
Published on 18/09/2012 à 10:29 sur 24presse.com
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